a.noctilux a écrit :
CHIPO a écrit :
J'ai le même problème avec mon 262, mais je l'avais aussi avec le m8 et le m9.
Il s'agit bien d'une mesure centrale pondérée, la seule sur le 262 contrairement au m240.
En fait, dès qu'il y a, une zone clair, même un bout de ciel, un lampe, on sous expose.
En revanche l'exposition est parfaite dans les autres cas. C'est flagrant, la même photo avec les mêmes expositions est meilleure, mais,
quand même un peu sous exposée avec mon Pentax K3 par exemple.
Il faut s'habituer à jauger à l'oeil et corriger l'exposition avec la molette..
C'est très facile sur un M262, sauf que souvent,
la molette bouge toute seule, et là, sur ou sous exposition garantie !
Quand la lumière est "difficile", par habitude des M manuels, je fais tout en manuel pour éviter les surprises.
Pour moi, c'est plus facile de passer en vitesse manuelle (en suivant les indications de la celleule si besoin), et de là, je réfléchis dans quel sens "corriger".
C'est plus facile (pour moi) de choisir 1000 quand le M suggère 250, je sais que c'est sous-ex de -2EV.
Si je préfère une sur-ex de +2EV, je passe à 60 sur la molette et je "brackette" si je peux.
On peut faire la même chose avec les corrections (avantage, on voit les valeurs en + ou - xEV dans le viseur du M262) mais dans
mon cas, c'est moins pratique, avec risque d'oubli
pour les photos suivantes.
Ca marche bien quand tu as de la lumière, ou bien, il faut rester à 1600 iso. Lorsque tu passes d'ombre à lumière, ca se complique.
Je commence à prendre l'habitude de faire l'expo sur un point moyen, et cadrer. Mais c'est sportif et pour la rue pas très instinctif. Parfois je regrette mon Q, d'autant que je pars en automne à NY comme tous les ans, je verrai vite les écarts