S'il s'agit de trace de séchage, donc d'un dépôt sur la surface brillante du négatif, vous pouvez essayer de les enlever avec un produit appelé Film net (produit extrêmement volatile et séchant instantanément). Il faut frotter très délicatement la tache avec un papier pour optique légèrement humecté avec ce produit.
Faire un essai au préalable sur la zone d'amorce du film pour bien juger de l'effet et surtout de la manière de procéder (par touches légères). Je n'ai jamais eu à déplorer de micro-rayures en procédant ainsi.
Comme le préconise Juan, l'utilisation, en dernière eau de rinçage, d'un agent mouillant dilué dans une eau type Volvic (1 à 2 minutes) permet de pallier à cet inconvénient.

C'est nous qui dans cinquante années, et plus encore, en dépit de toutes météorites par inadvertance rencontrées, utiliserons le M et irons tourmenter les âmes incrédules de fantômatiques terriens se démenant sur leur improbable sphère numérique et cherchant quel put bien être le sortilège qui fit que leurs lointains ancêtres délivraient de telles images que celles qu'ils tiennent devant eux, retrouvées à la faveur de la découverte fortuite des archives d'un très très ancien forum où semble-t-il se rejoignaient lesdits ancêtres pour y célébrer un étrange appareil dont le nom même est un Mystère, et partager lesdites précieuses images.

Jamais nous ne nous lasserons d'admirer vos fleurs (précieuses, toujours…) leurs délicats pétales recouvrant le sol, l'exquise lumière par vous offerte.

Grand merci pour le plan (et les précisions).
Peux pas dire quand j'irai mais j'irai, dûment nanti du M.
Cordialement.

Belles par vous sont encensées les méditatives couleurs de ces lointaines prières.
(Ô vous compagne le paisible télémétrique !).

Fait un bail que j'suis pas allé à Panam'. C'que j'préfère, c'est la passerelle qui si j'pige bien elle mène à Passy, ou bien un truc du genre la Seine. Et le zig au passage clouté qui r'garde son double sur le cadran rouge et vert avec un poil de lumière sur la bouille. Les deux tirages sont un peu sombres ; et ça colle bien au lieu.
Peut-être que j'aurai attendu que le gus le long du Troca s'avance un peu plus, pour bien être détaché sur l'allée, et que les pigeons en profitent pour mettre les voiles...
Et bien le salut à Panam'

Faut pas, j'ai confondu le Dom Pé' 67 avec un reste de D76...

On peut acquérir la mythique Technipal Pan sur ce site, pour la somme modique de 14 € et 36 poses d'une redoutable finesse

http://www.nightlight.fr/

Faudrait une image pour voir.
Rien de particulier quand au processus de tirage, si ce n'est que les grades que vous employez supposent un négatif ayant un bon contraste (ce qui nous ramène aux remarques précédentes quant au développement) sous peine de douceur de l'image trop importante et au détriment de sa définition (effet que renforce un papier perlé).
Maintenant va falloir faire des tests. En prenant un sujet éclairé uniformément et présentant un bon écart contraste, avec si possible un petit carton gris neutre dans un coin de l'image sur lequel vous mesurerez l'exposition, faire deux trois pellicules que vous développerez selon votre manière habituelle pour la première, et en essayant d'autres combinaisons pour les suivante. Ensuite vous vérifirez au tirage (en tirant par référence au gris neutre sur un grade 2) la gamme de contraste que restitue le papier selon vos différents négatifs (j'espère que l'on trouve encore des 12 poses).
Voici une saine occupation pour les jours à venir .
Et précipitez-vous chez votre libraire préféré arracher aux rayons complices le précieux ouvrage de Philippe Bachelier précité, tout y est sur le n&b.

Oui, beaucoup d'années avant que ne disparaisse la sensible et troublante pellicule argentique (nous irons, s'il le faut, les chercher en une lointaine exotique contrée ayant survécu hors du monde numérique par la grâce d'une rupture du temps) que nous glissons avec amour dans notre leica préféré avant que d'aller courtiser l'ombre et la lumière furtive.
Et quelle joie plus délicieuse que de regagner notre chambre noire, où avec l'anxiété de l'amant délicatement nous révélerons notre chère pellicule, trente minutes à espérer devant l'image muette d'une cuve de développement. Le négatif humide que nous déchiffrons, comme une lettre reçue et parcourue d'un trait, message crypté dont il nous faut inverser les valeurs afin d'en percevoir le sens ; le masque abstrait d'un visage, ou un ciel de nuit en plein midi. Attendre toujours encore avant que de tirer la planche contact où nous chercherons l'image que nous tentions de reconnaître.
Et que dire des heures consacrées à un seul tirage.
Attente, toujours, pour que les images que nous n'avons pas toujours su voir sur l'instant viennent à leur heure nous rencontrer.
Argentique comme amour, hors l'instantané, et donc follement désiré et déraisonnable.

Le Rodinal, effectivement, pour tirer au mieux parti du modelé de la FP4.
Evitez de travailler à 18° (en prévision de cet été notamment), il peut en résulter une diminution du contraste.
Il faut adopter une méthode de développement et n'en plus changer (sauf expérimentation ultérieure, toujours bien venue en N&B). Veillez surtout à la régularité de l'agitation.
Mais votre remarque me semble davantage porter sur le tirage, que vous qualifiez de . Peut-être faut-il regarder de ce coté-ci ? Gradation, temps de développement, ect...

Le M est l'appareil de chaque instant, quand tout débute par un lent griffonnement de lumière et qu'il est encore au fond d'une poche, mais que l'on espère en cette image vue avant de l'avoir pu rencontrer, et lui seul nous y accompagne avec exquise légèreté.