Ce sont des fermoirs qui ressemblent beaucoup aux modèles Peak Design. Si ce sont ces modèles qui sont utilisés dans cette sangle, ils résistent à 90 kg. Si ce sont d'autres marques imitatrices, je ne sais pas.

Je ne sais plus, mais l'information de la nécessité de traiter en 16 bits (par couleur) pour des espaces couleur large (Prophoto RGB ou similaires) court partout, et se trouve dans les bons livres de traitement numérique en photographie. Par exemple, ceux de Jean Delmas, malheureusement épuisés, mais peut-être encore accessibles en occasion.
Par contre, pour les logiciels en 32 bits ou 64 bits, j'ai appris ça lorsque MacOS (et Windows) sont passés de 32 à 64 bits, ce qui permet aux processeurs de traiter 64 bits de données à la fois. J'ai dû apprendre "sur le tas" car beaucoup des applications que j'utilisais n'étaient alors plus compatibles pendant un moment, jusqu'à leur mise à jour.
Tout ce que j'ai appris en photo numérique, je le dois à quelques ténors de la photo qui ont fréquenté, dans les années 2010 et suivantes, le forum "Chasseur d'Images". Une vraie mine ! Malheureusement, la mauvaise ambiance qui y a régné (et qui y règne encore) a fini par les en faire partir, et ce forum n'est plus très intéressant.

Quand je parle de 16 bits, c'est par couleur ! Donc 16 x 3 = 48....
Quant à VueScan en 64 bits, ce sont des bits informatiques de traitement des données, rien à voir avec les bits par couleur.... Dans certains logiciels de scan, il existe néanmoins, je crois, un 4ème canal en 16 bits pour gérer les poussières, mais je n'ai jamais utilisé cette possibilité.

Là, je ne sais pas répondre à tes questions, si ce n'est que, comme tu le dis, un RAW est beaucoup plus malléable qu'un TIFF. Je reste presque toujours en RAW du début à la fin.

Les outils NLP me conviennent, d'autant qu'il y a beaucoup d'options au niveau du "rendu". Mais il est vrai que les possibilités d'ajustement sont réduites à leurs plus simples expressions.
S'agissant du DNG compressé, je n'ai jamais vraiment constaté de différence sur le M240. Il me semble me souvenir que la compression était sans perte. Mais je n'ai plus de M240, ni même de Leica...
Et, pour finir, il est admis par tout le monde qu'il faut traiter ses photos en 16 bits, faute de quoi des artefacts peuvent apparaître.

Quant aux diapositives, je pense que l'APN y est pour beaucoup (et pour les négatifs aussi, d'ailleurs). Ainsi que la source de lumière, qui doit avoir un IRC le plus proche possible de 1. Mais je n'ai jamais vraiment essayé, sauf pour quelques unes, que je me suis contenté de traiter directement sans passer par NLP, bien sûr. Et, les derniers essais datent du temps où j'utilisais Capture One.

Revenir à LrC pour finir de traiter une image inversée dans NLP est assez hasardeux, sauf à transformer le RAW en TIFF, car les curseurs ne répondent pas, bien sûr, comme à l'accoutumé. Après avoir converti en TIFF, alors, oui, LrC peut être utilisé sans problème, bien sûr. Ça m'est rarement arrivé, je vais jusqu'au bout avec NLP. Et il m'arrive assez souvent de reprendre le traitement NLP d'une image déjà inversée.
Je n'ai pas essayé d'inverser un négatif N&B avec Lightroom. Il faudrait que j'essaie. Tu me donnes une idée !! Jusqu'à présent, j'ai toujours utilisé NLP.
Pour les diapositives, il n'y a pas vraiment de raison de passer par NLP, puisqu'elles sont déjà inversées.

Je ne sais pas si la licence est "définitive" (que veut dire "définitive" ?), mais ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas un abonnement. Pour l'instant...

J'ai un abonnement Photo Adobe (Lightroom Classic + Photoshop) et j'ai aussi une licence pour Negative Lab Pro, que j'utilise avec Lightroom Classic.
Je ne pense pas hélas qu'il existe une version en français.

Nate, le développeur de Negative Lab Pro est très agréable et répond très vite à toutes les questions:
nate@natephotographic.com

Mais il faudra utiliser Google traduction pour converser avec lui si tu ne te débrouilles pas assez bien dans la langue de Shakespeare...

Pareil pour moi avec le X1D II, mais je ne change pas d'optique très souvent, et j'y fais attention.

Je ne connais pas le dernier Hasselblad X2D (I ou II), mais la stabilisation de type IBIS ne s'accompagne pas nécessairement d'un système vibratoire permettant de "nettoyer" le capteur des poussières sèches. Est-ce le cas sur le X2D ?

Non, et depuis longtemps !!

Picto a bonne réputation, mais je ne l'ai jamais essayé. En effet, il y a sur le marché beaucoup d'imprimeurs en ligne.

Autant utiliser son portable, dans ces conditions ! (Ce que je ne sais pas faire...)

Incontestablement, le M240, que j'ai pratiqué pendant plusieurs années, est encore un excellent boitier, très fiable, discret et de bonne facture.
Le seul reproche que je lui faisais est sa colorimétrie, qui nécessitait un peu de travail pour le résultat que je voulais atteindre. Sinon, aucune panne ni défaillance pendant plus de 6 ans. Un bon investissement pour qui aime la photo Leica sans se poser de questions.

Aujourd'hui, la montée en sensibilité des capteurs Sony permet tout de même de s'affranchir de cette absence. Avec mon Hasselblad X1D II (50 Mpx, sans IBIS), je descends à 1/20s à main levée et monte à 6400 ISO sans souci. Ce qui ouvre tout de même de larges horizons. J'admets qu'il m'est arrivé d'être un peu limite dans, disons, moins de 1% des cas.

Je rejoins tout à fait cette analyse. Si je devais acheter un Leica aujourd'hui, ce serait un M argentique.
Je suis aussi passé à Hasselblad, essentiellement pour sa science des couleurs, mais aussi pour l'autofocus et l'ergonomie. Et la mise au point manuelle est possible.....