Salut Jean-Yves,
C'est vrai qu'un Leica à vis, ça change du M! Vive le dépaysement...
J'ai la chance d'avoir un vénérable Leica III millésimé 1939 (toute une époque "La drôle de guerre"!).
Le plus étonnant dans ces boîtiers, c'est leur poids important malgré leur compacité.
Autrement dit, ils ont une "densité" incroyablement élevée.
La première fois que ma femme l'a pris en main, elle m'a dit "il vaut mieux ne pas le laisser tomber sur le pied"!
Il m'est arrivé un truc bizarre la dernière fois que je l'ai utilisé.
Après avoir pris une photo, j'ai manoeuvré le barillet des vitesses avant de réarmer. (Voyant que le barillet indiquait une vitesse farfelue, j'ai eu le réflexe de le remettre en place... oubliant qu'il suffisait de réarmer pour que tout rentre dans l'ordre. Distraction dans le feu de l'action...)
Cette fausse manoeuvre a eu pour conséquence qu'il a fallu tourner le bouton d'avancement du film plus que de coutume pour armer l'obturateur.
Pas normal!
Comme j'étais au tout début du film : j'ai rembobiné sans entrer le film dans sa cartouche / réaccroché le film / passé le nombre de vues prises en masquant l'objectif.
Tout est rentré dans l'ordre.
Moralité : jamais toucher le barillet des vitesses avant de réarmer!
Amitiés, Fox