Autrefois, on utilisait le "bracketting" avec des écarts variés pour une lumière difficile avec des grandes différences d'éclairement... Cela reste vrai.
Les hautes lumières cramées sont irrécupérables, en film comme en num et c'est aussi fonction du capteur (300 et 350D notamment) que du film.
Au fond, il faut poser juste, comme toujours. Après, tout dépend de ce que l'on privilégie dans l'image et aussi d'un équilibre de luminance.
La dynamique des capteurs numériques autorise aussi de plus grands écarts et c'est intéressant.
Pour Éric, VG m'a été fort utile pour la compréhension et l'abord du numérique auquel j'ai été réfractaire pendant longtemps. Ensuite, c'est une question d'expérience personnelle qui est forcément très variable d'un photographe à l'autre comme le montrent certains fils. D'autre part, j'ai démarré avec Camera Raw avant d'utiliser C1 et là aussi, il y a des différences sensibles en termes de bruit et de rendu...