Merci.

Je reçois ces critiques avec humilité. J'admets ne pas avoir rempli le cahier des charges ! Cependant je vais laisser la parole à mon avocat, maître Jean-Ennemond Empaffé :

Mon client, monsieur Hassen a des circonstances atténuantes. Comme il vous l'a dit il sortait d'une consultation ophtalmo à l'hôpital Edouard Herriot après 3 heures d'attente et moultes gouttes dans les yeux. En franchissant la sortie à une heure ou le soleil commençait à décliner il fut subjugué par la vision de l'entrée du métro dans la lumière moribonde du contre jour.C'est alors qu'il sorti son Leica pour immortaliser ce moment magique. Il eut bien du mal à identifier entre deux larmes la bague du diaphragme, la molette des vitesses et le dispositif de mise au point. Puis il réalisa deux clichés en braguettant, pardon, en braquettant !

Que celui qui n'a jamais pris une photo dans ces conditions le mette au pilori de l'opprobe et de la vindicte populacière.

Ensuite, rentré chez lui en ayant recouvré partiellement la vue et après avoir fait développer sa pellicule, il entreprit de finaliser son oeuvre avec un écran d'ordinateur portable pourri de chez pourri, la marque chinoise bien connu : pourri de chez pourri.
Cependant, et c'est pour ça qu'il va à l'hosto toutes les semaines, sa vision reste troublée par des caillots de sang baladeurs.
Il a donc abusé d'artifices post traitementiques qui n'ont pas répondu à ses attentes

En conclusion, mesdames et messieurs les juré, je réclame pour mon client une peine minimale agrémenté toutefois d'un passage à tabac pour l'exemple !!!!