Ouille ! Les inscriptions multicolores témoignent d'un mauvais goût tellement sûr que ça frôle le génie.
(On dirait une interface Apple copiée par PetitMou… Bon, je )

Attention à un détail pour les viseurs : les Voigtländer pour 21 et 25 comme, je suppose, les Zeiss affichent un cadre (avec repères de parallaxe à 1 m) dans un espace plus large (le Voigtländer 21 couvre à peu prés le champ d'un 15, même si d'après les spécifications officielles ce n'est pas le viseur de 15 avec un cadre, la formule optique est différente). Le tri-focal 21-24-28 donne le cadrage… comme le champ entier. C'est moins précis et moins agréable.

Sur ce forum : au M8, sur film N&B.
Dans le vaste monde extérieur (et anglophone) : ici sur Epson RD-1 et bien sûr dans la Leica FAQ de Nemeng à l'article Noctilux.
Tout ça a déjà été posté ici.
L'engin est large (72 mm) mais plutôt plat, contrairement au Noctilux. Après, c'est vous qui voyez; moi, j'attends le mien

Celui indiqué est marqué, mais il est accompagné de son boîtier (je rappelle que "l'engin" ne se monte que sur un Canon 7 et doit être modifié pour les M), normalement contrôlé par la boutique, et, vue de biais, la frontale n'est pas si sale — c'est peut-être nettoyable. Vous pouvez attendre un objectif en meilleur état mis en vente par un particulier, mais vous allez le payer aussi cher que cet ensemble. Sinon, il y a des Noctilux pour à peine le double.

Dans un premier temps, je garde mes très compactes optiques CLE : M-Rokkor 28/2,8 et 40/2. Un Summicron de 50 fera petit télé.

Je déciderai plus tard de passer au Summicron de 28 (pour la luminosité avec un équivalent 37 mm, remplaçant le 40/2 en argentique) ou de 35 (pour la compacité, remplaçant un 50). Avoir les deux me semblerait un peu redondant.

Avec l'EIR (diapo IR couleur), pas de décalage puisqu'on photographie dans le visible et le (proche) IR. Idem pour l'Ilford SFX (N&B sensible au proche IR; plutôt pour portraits que pour paysage).
Avec le vrai IR N&B (HIE, Maco IR 820, feue la Konica IR) c'est un problème, mais, sauf pour la Kodak, la sensibilité est tellement faible que le pied s'impose de toutes façons, ce qui laisse tout loisir de fermer le diaphragme et compter sur la profondeur de champ.

J'attends le retour du soleil (pas gagné ) pour essayer mon B+W 093 sur le M8.

Ça n'a rien de contradictoire : l'Apo-Lanthar 90/3,5 n'est pas concurrent du 90/2 AA, seulement d'un 90/2,8.
Pour un paysagiste, qui ferme à f/8 d'abord et discute après, le minuscule Skopar 21/4 est parfaitement adapté et l'Elmarit ASPH peine à justifier son tarif. Un reporter qui aurait absolument besoin de l'ouverture de 2,8 en photo de nuit peut en juger autrement.

De façon générale, l'avantage Leica est certainement tangible à pleine ouverture mais concerne surtout les clients des Ultrons et Noktons, beaucoup moins ceux des Skopars, qui se contentent des ouvertures ordinaires.

Il faudrait aussi discuter du rendu, qui peut être un point en faveur de Leica, mais visiblement au moins un summiluxien, Ekreviss, a déclaré préférer les Voigtländer (ou Zeiss ou vieux ) aux Asph pour le N&B. À chacun de savoir ce qu'il veut, et à quel prix.

Pour moi, mais c'est une opinion personnelle, l'erreur serait de toucher au 90/2 AA ! Je ne me sers déjà presque jamais du M-Rokkor 90/4 qui complète mon CLE. À ces focales, je préfère le reflex.

Le Skopar de 21 me donne toute satisfaction, mais je ne peux comparer qu'à mes 20 mm réflex, pas à l'Elmarit ASPH.

Le prix des Voigtländer est, d'une certaine façon, "normal" pour des réalisations de bonne qualité en petite série avec des formules optiques correctes aux ouvertures moyennes mais, pour les plus lumineuses, un peu faibles à pleine ouverture. C'est qui fait payer très, très cher le "made in Germany" et des formules optiques calculées pour délivrer une qualité maximale dès la pleine ouverture.

J'ai cru comprendre, mais je peux me tromper, que Chabada souhaitait échanger un M2 révisé équipé, au choix, d'un 90 AA, d'un Summicron de 50 ou d'un Sonnar de 50 contre un MP chromé nu (n'importe quel viseur ?). Techniquement, il ne vend pas le Sonnar.

Notons que l'équivalence entre les différentes possibilités met le Sonnar au prix du 90 Apo Asph, ce qui n'est certainement pas dévalorisant pour le Zeiss

Je laisse de plus compétents commenter l'équivalence entre un Summicron de 50 et le M2 révisé et l'option "Série de blades Ping du 3 au W" (pour moi, c'est distinctement moins compréhensible que du chinois ).

Peut-être le retour de Chabada dans cette rubrique annonce-t'elle l'arrivée du printemps ?

Deux remarques sur le numérique :
- Si le recadrage par-rapport au 24*36 modifie nos correspondances entre focale et angle de champ (remarquez la périphrase pour rester rigoureux et ne pas "convertir la focale"), il conviendrait également d'adopter un cercle de confusion plus petit, adapté au plus grand agrandissement pour un format de tirage identique. La question de la profondeur de champ n'est pas simple, même du point de vue théorique.
- Un RAW ne saurait être "brut de capteur". Le capteur délivre un signal… analogique , qui doit donc être traité pour aboutir à des données numériques.

Le mieux, c'est encore de faire des photos.

À sa décharge, Contax c'était Kyocera. Zeiss ne faisait que fournir les optiques au commanditaire.
Cette fois, Zeiss est le donneur d'ordre.

Tous les Voigtländer sont en 39 à vis sauf :
Skopar 35/2,5 modèle II
Nokton 35/1,2
Nokton 40/1,4
et les nouveaux Skopar 21/4 P et 25/4 P, en monture M,
et les versions SC (monture Contax).
La liste ici (japonais) ou là (allemand)(anglais). (Le site Cosina en japonais est plus complet et mieux mis à jour.)

Mes suggestions :

Integrate the front grip and, more importantly, a back grip (for the right-hand thumb) into the body.

Two position lock for the speed dial: A mode or 8000-B. Right now, it is just too easy to slip from A to 8000 (oops, black picture!).

Choice of viewfinder magnification, as with the M7 and the MP. What about "M8 à la carte"?

Auto ISO mode, with adjustable limit.
Exposure compensation dial.
Smaller charger.

Compact et silencieux : le CLE. Mais son électronique n'est plus réparable (la mécanique, oui).
Prix raisonnable : le CLE en occasion (s'il n'est pas vendu en kit complet avec les trois optiques, voire le flash) ou les Bessa neufs.

Tu devrais surtout te demander :
- si tu veux l'automatisme à priorité diaphragme, comme un M7 (CLE, Hexar RF, RnA, ZI);
- ou si tu veux du tout manuel, façon MP (RnM);
- et surtout pour quelles focales !
CLE = 28 (excellent viseur), 40, 90 (anecdotique)
Hexar RF = comme un M 0,58
R2 = 35, 50, 75, 90 (comme un M 0.72, mais base télémétrique courte)
R3 = 40, 50, 75, 90 (viseur x1, mais base télémétrique courte)
R4 = 21, 24, 28, 35, etc.
ZI = comme un M 0.72 (avec le 28 en plus ?)

Il y a un Ricoh GR1s en vente sur ce forum. Cette famille de compacts autofocus a un excellente réputation, et la focale de 28 mm résoud en bonne partie la question de la profondeur de champ.
Si c'est, au contraire, pour faire des photos à très faible profondeur de champ avec, je cite, "une vue de taupe", je verrais plutôt un réflex AF doté d'un bon viseur pentaprisme qu'un télémétrique.

Version ASPH en préparation ou abandon pour cause de focale un peu longue pour le M8 ?